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jeudi 18 octobre 2012

SAINT PIERRE


Saint Pierre est un bracelet réalisé avec le cuir d'une ceinture de l'armée suisse de 1975 (ça change des cartouchières, non ?...).

C'est un exemplaire unique de la "ligne antique".

Plusieurs inscriptions (certaines incomplètes) sont lisibles sur le haut du grand brin : "ALFR.LEISER", "SATTLEREI", "..TEIFINGER", le nombre "75" et la fameuse croix suisse.

Au revers, un tampon à l'encre est présent sur la partie haute du grand brin avec l'inscription suivante : 'SZ" et une nouvelle croix.

Son cuir de couleur caramel beurre salé (vive la Bretagne !) est naturellement patiné par les années. Il propose une doublure en cuir de veau pour plus de confort et un passant cousu.

Il est proposé, sans boucle (et sans la montre !...) et hors frais de port, à un tarif de   120 €  (Vendu)

Dimensions : longueur : 130 x 75 largeur : 24x24
Couture classique, fil vintage.

ATTENTION : Afin que la croix, qui est magnifiquement marquée, puisse être visible au poignet, le trou pour la boucle à ardillon devra être situé à 70 mm ou davantage du bout du brin qui tient le tube (Ouaw, ça c'est de l'explication !...). Ce qui signifie que son futur propriétaire sera très vraisemblablement doté d'un poignet de plus de 19 cm de circonférence (Schwarzy, il est pour toi, celui-là !...)...

Contact : canotage@laposte.net







Saint Pierre est aussi une île située sur le lac de Bienne en Suisse.

Jean-Jacques Rousseau, qui y a séjourné, l'évoque dans "les rêveries du promeneur solitaire" :

« Quand le soir approchait je descendais des cimes de l'île et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac dans quelque asile caché ; là le bruit des vagues et l'agitation de l'eau fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre agitation la plongeaient dans une rêverie délicieuse où la nuit me surprenait souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu mais renflé par intervalles frappant sans relâche mon oreille et mes yeux suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. »

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